Longtemps j’ai essayé de me persuader qu’être perfectionniste était quelque chose de positif. Que cela me permettait d’accomplir de grandes choses, d’être appréciée des autres, d’éviter l’échec.
Le perfectionnisme est un piège, dont l’envers du décor est insidieux.
Les noeuds au cerveau semblent inextricables.
On pense qu'on n'en fait jamais assez.
On aimerait tout contrôler.
On a du mal à dire non.
On a peur de ce que les autres pensent de nous.
La bienveillance envers soi semble impossible, tant qu’on n’a pas tout coché.
On a peur de ne pas être légitime.
On se perd dans les détails.
Un jour, épuisée par cette course vaine, j'ai fait le choix d'investir en moi.
J'ai alors réalisé les limites des règles que je m’étais fixée depuis tout ce temps.
J'ai compris qu'on n'était pas obligé de croire cette petite voix qui nous murmure que l'on n'en fait jamais assez.
Ni répondre à toutes les injonctions qui gravitent autour de nous.
Et j'ai pu mieux respirer.
Conquise par des outils simples et puissants, j’ai choisi d'approfondir ce travail en me formant au coaching.
Ma mission : accompagner les femmes perfectionnistes à lever toutes les barrières pour oser créer la vie qui leur ressemble.